Alfred Brendel, l'esthète couronné 5/5 : "À Vienne, autrefois, il était inconcevable d’accompagner les chanteurs avec le piano grand ouvert"

Alfred Brendel, l'esthète couronné 4/5 : "Ne croyez pas que j’ai une mémoire colossale !"

Alfred Brendel, l'esthète couronné 3/5 : "J’ai joué 68 fois le Concerto de Schoenberg"

Alfred Brendel, l'esthète couronné 2/5 : "Mon tout premier récital, en 1948, ne comportait que des fugues !"

Alfred Brendel, l'esthète couronné 1/5 : "J’ai besoin de me sentir entouré de livres et d’objets d’art"

Pierre Amoyal, l'amour du son 2/5 : Pierre Amoyal : "J’ai avoué à Oïstrakh que je ne deviendrais jamais violoniste car je ne maîtrisais pas le staccato"

Pierre Amoyal, l'amour du son 5/5 : Pierre Amoyal, violoniste (5/5) : "Le trac est lié à l’intensité de l’engagement émotionnel qu’exige la scène

Pierre Amoyal, l'amour du son 4/5 : Pierre Amoyal, violoniste (4/5) : "Un violon, c’est une histoire d’amour très spéciale"

Pierre Amoyal, l'amour du son 3/5 : Pierre Amoyal, violoniste (3/5) : "Christian Ferras m’a demandé de lui montrer comment jouer les gammes"

Pierre Amoyal, l'amour du son 2/5 : Pierre Amoyal : "J’ai avoué à Oïstrakh que je ne deviendrais jamais violoniste car je ne maîtrisais pas le staccato"

Pierre Amoyal, l'amour du son 1/5 : Pierre Amoyal : "Ce qui m’a bouleversé dans la sonorité de Jascha Heifetz c’est ce qu’il y avait derrière"

Hortense Cartier-Bresson (5/5)

Hortense Cartier-Bresson : « La musique que nous jouons sort du silence. »

Hortense Cartier-Bresson : « Je ne supporte pas les gens qui cognent… ni les sons creux »

Hortense Cartier-Bresson  (2/5) : "Je voulais avoir joué une œuvre cent fois en concert avant de l’enregistrer"

Hortense Cartier-Bresson : " György Sebök n’avait pas d’esbroufe dans son jeu : il avait un jeu simple et sincère"

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